La croissance repart
Avec tout ça, je ne l’ai même pas vu venir, mais c’est déjà le 100e article publié sur ce blog (sans compter les anciens épisodes de Superflu rapatriés depuis). Du coup on va fêter ça avec un article parfaitement banal, parce que de toute façon tout le monde sait que c’est le 128e article qui est important.
Voici donc un petit dessin papier. Pour changer des aquarelles, je m’essaie au crayon de couleur. C’est différent et pour le moment je ne maîtrise pas trop bien la chose. Mais c’est assurément plus pratique pour faire des couleurs bien foncées (au hasard, l’espace).
Notez que ce genre de dessin n’est pas trop mon genre car en général, je n’aime pas la personnification de la Terre du genre « oulalah pauvre planète on est trop méchants avec elle ». Parce que bon, la planète, c’est un gros rocher qui dérive dans l’espace et qui s’en fout bien de nos petites histoires. L’urgence écologique, elle est surtout vraie pour nous, pour les machins vivants qui gigotent dessus. La planète, elle sera encore là bien après la fin de l’humanité et elle finira de toute façon cramée par le Soleil, qui lui même finira froid et immobile au bout du compte. Alors bon. Mais voilà, j’ai fait une petite exception parce que je trouvais ça résumait bien le problème.
🛈 Si vous avez aimé cet article, vous pouvez le retrouver dans le livre Grise Bouille, Tome II.